2742 Mercredi 30 Avril 2025
« jme fais du souci pour le prince/jme fais du mouron pour le maton » chantait bashung (qui a quand même fait de belles chansons) (beaucoup apprécié sa participation – avec Arno, c’est vrai, les deux faisaient la paire) dans le J’ai toujours rêvé d’être un gangster (Samuel Benchetrit, 2007) (il y avait là aussi Anna Mouglalis qui n’est pas si éloignée d’être une égérie d’ici – d’autant qu’on la croisait en manif) et je lisais dans le canard hebdo cinématélévisionradio (ou ailleurs ? peut-être) un entretien avec un comédien (Vincent Cassel) qui me faisait penser à ce concept de roman d’un acteur évoqué par je ne sais plus qui (Louis Jouvet sans doute, ou un type de ce moment-là – ou une typesse style Varda (qui se prénommait Arlette) Deleuze ? ) et je passai à Gambetta hier marchand d’un bon pas sénatorial où se trouvait ceci
ce qui me permet de saluer mon amie Paumée (qui en a déniché un) (dont le site refuse obstinément que ‘y apporte quelque commentaire que ce soit) – j’avais été voir ma médecine (qui m’avait donné du jeune homme car mes artères mon petit battant ma tension et consorts semblent d’une parfaite santé « je suis bien contente de vous » me dit-elle – charmante) avant j’étais passé chercher les analyses sanguines (les oranges de cette sorte m’agréent plus que les autres) – au marché un vendeur m’avait donné tiens papa un quartier d’orange (un vrai délice, sicilien précisait-il) il y avait sur le chemin cet autre délice, urbain (une variété parisienne comme dirait l’amie Employée qu’on salue)
j’étais passé aussi par la librairie acheter (19.5 e au seuil) l’opus numéro 87 (ou j’en sais rien, je ne suis pas l’évolution du roman d’un auteur) d’une interprète du Tony Volodine (que je confonds allègrement avec Valère Novarina) titré Arrêt sur enfance (Manuela Draeger, 2025) dont on parlait en atelier (dans lequel donc le numéro onze se prend pour Mara (aka Margueritha Cagol), l’une des quatre fondatrices des Br) – il y eut au passage celle-ci (égérie notoire pendant le week end)
(j’ai cru comprendre lors du spanish travel (voyage auquel manque un carnet) que melocoton (ça fait rien/viens/donne moi la main) signifie dans le sabir pomme) et passant encore cette image d’une chanteuse crois-je comprendre zurichoise semble-t-il (mais du zurich algérien ou kabyle probablement)
(je vais reproduire ce pedigree immédiatement en maison[s]témoin – ça fera ma journée comme disent les amerloks – laquelle est, comme on sait, IRWD (ici avec Thelma Ritter, formidable – probablement dans Pick upon south street (Sam Fuller, 1953)
pour finir par un coiffeur d’assez médiocre jeu-de-mot-laid (269, Pyrénées 20°)
agrémenté cependant d’un buveur invétéré (à la tienne !!).
me plait le marchand d’orange…
un qui sait parler avec une gentille attention à nos âges !
Concernant les appellations de coiffeurs, j’aime bien passer devant la boutique, rue Beaurepaire « À la tête du client »… La polysémie de cette inscription, pas vraiment tirée par les cheveux, est un régal ! 🙂
@brigitte celerier : (le marchand : un mètre quatre-vingt-dix, cent vingt kilos… on lui parle avec égard et gentillesse):°)) Merci à vous Brigitte
@Dominique Hasselmann : ce salon est bien dans le genre du quartier, en effet (il est porté à l’invent’hair). Merci à toi