2588 Mardi 23 Septembre 2025
ça a été sans sieste bizarrement – rencontre d’un voisin qui m’a offert à manger (prise de contact possible avec son beau-père pour le projet Jacqueline du Par-là Paris de L’aiR Nu – toujours pour L’aiR Nu, la lecture des deux derniers paragraphes du texte zones grises – créant ces objets je me demande combien de temps va durer cet épisode d’abandon d’Aldo – je vois le fantoche du faubourg saint-honoré qui le jour du nouvel an juif à New-York (un peu comme dans North by northwest) joue au dominant : sans gouvernement dans son propre pays… – la chronique dit que MBS qui devait venir était attendu mais a décliné (on ne sait qui est le plus fourbe des deux) – des furieux relents de société des nations et Chamberlain-Daladier et d’autres encore – une espèce de dégoût profond donc : j’ai tout de même capturé cette toile
un type passe sur le bord du canal – les arbres roussissent – plus loin cet autre
gymnastique au soleil –
au sol deux plumes
de collection
au café Belleville et Bruxelles – fanfaronner : je me trouve souvent insupportable, je tente de maîtriser cette nécessité dans laquelle je me trouve de (tenter) faire rire (en y parvenant parfois) – aux ciels
puis le soir
en dvd La promesse verte (Edouard Bergeon, 2024) (probablement erreur de distribution : Alexandra Lamy en mère de Félix Moati : quelque chose ne m’allait pas – (on pense de très loin à Midnight Express (Alan Parker, 1978) dans les geôles turques : ici elles sont indonésienne… – bah
au ciné Le Roi Soleil (Vincent Mael Cardona, 2025) (on avait eu une appréciation assez contrastée de son Les Magnétiques (2021)) (ici, le titre est le nom d’un café-tabac-bar-jeux de… Versailles) quelque chose de vain – un peu de mise en scène et des acteurs explosifs – mention spéciale à Maria de Medeiros malmenée certes mais courageuse
en face Everybody’s fine (Kirk Jones, 2009) reprise de Stanno tutti bene (Iels (:°)) vont tous bien, Giuseppe Tornatore, 1990) déjà très larmoyante mais nettement plus dramatique – on a droit à une « fin heureuse » et un Robert De Niro en vieillard cardiaque et cacochyme – re bah…