Pendant le weekend

2589 Mercredi 24 Septembre 2025

 

 

promenade – le type travaille

et je passe

à l’aveugle j’atteste des feuilles mortes (en amorce mon bras gauche)

qui s’égayent un peu comme mon esprit

je pense à autre chose – « je suis dans le mal » disent les jeunes « mais tellement… » – j’oublie sans y parvenir – je marche et rejoint le boulevard où on s’entretient au sujet des prisons d’Abou Ghraib de sinistre mémoire – porter la contradiction, sans doute mais faire avancer sur le chemin de l’autobio d’habilitation – puis l’après midi, rejoindre le faubourg

un paquet de chips – rester grand-père – marcher encore, et retourner ici

l’arbre Corentin qui penche (pourquoi va-t-il vers l’intérieur de Paris ?) j’ai rejoint le lieu de la conférence – ici le champ

là le conre-champ

un passage que j’ai emprunté pendant trente ans de ma vie professionnelle – j’ai tout oublié – c’était là

l’ancien pédégé qui s’est fait foutre dehors par l’embijoutée de la rue de Valois s’est installé au premier rang avec le staff – deux intervenants, l’un Pierre Gagnepain, neurobiologiste (Inserm)

et statisticien, l’autre Gérôme Truc sociologue (CNRS)

la recherche publique – celle que torpille depuis vingt ans l’état ultra-ibéral que nous avons élu – au travail

le speech de la présidente par interim – le lieu magnifique mais saccagé (on en ressentirait presque quelque honte) (quand on veut noyer sa cité des sciences et de l’industrie, on dit qu’elle a la rage) – quelques explications sur les études réalisées sur les cohortes étudiées

– dont le rédacteur fait partie (deuxième cercle) – qu’apprend-t-on ? qu’oublie-t-on ? qu’est-ce qu’un trouble de stress post-traumatique

des conclusions

« il faut se souvenir pour oublier » (mis en pratique depuis toujours ici) et inscrire sa mémoire dans le passé » – je continue avec quelques lectures recommandées, en accès libre sur internet

ou en livres

pour éduquer et faire comprendre aux jeunes gens

Parfaitement roboratif.

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1 Comment

    passer avec nos rages
    bonne journée à vous cependant

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