2599 Samedi 4 Octobre 2025
en plein fantasme : ça ne fait rien, ça fait passer un temps – qui n’en a guère besoin – ça n’a aucune importance – j’ai porté une copie numérique du Faux Contact (Le sanaryote, 1981) au G. de RG – on verra ce que ça donnera si ça donne quelque chose – le rendez-vous avec le MF dont il est une espèce de gendre est fixé au 14, on verra aussi – zéro nouvelle des zones grises (le monde a de ces mœurs parfois…)* – je ne sais plus si j’ai appelé quelqu’un, j’ai oublié j’ai laissé tomber couler filer : quelque chose de la liberté et la chronologie de Sciascia (travaille me disais-je) (je me souviens de Bashung qui faisait je m’appelle Samuel Hall et je vous déteste tous – l’entretien avec BB dans le canard y fait allusion) – en plein fantasme, cette image d’un couple sur le vomero napolitain
(en amorce bord cadre en bas la chevrolet-amulette camaro décapotable offerte par les amis de la mare – en opération en salle de réveil en soutien – pour ma part je suis déchiré : l’espoir ne capitule pas, le réel non plus) au marché deux darnes de cabillaud des haricots verts (cueillis à la main chez le vraqueux ils se négocient à 16 le kil ce qui paraît assez fantasque – j’ai refusé l’obstacle et fait le réassort en lentilles) augmentés de trois poireaux en passant devant chez Max fermé définitif – on nettoie
où on distingue le fameux avertissement du « payable d’avance »
on fera réparer ailleurs s’il se peut ou se trouve – j’allais rue Saint-Maur – il fait décidément un sale temps mais j’oublie, je laisse aller couler filer – le alertez les bébés du jacques en boucle -rentrant doublé par la droite
en passant
ça finira par se résoudre puisque il n’y a pas de problème
dans la boite à livres du parc un Simone Signoret par une Joëlle Monserrat très richement illustré comme on dit (je reste très midinet) (une image de l’auteure l’autrice en fin de volume) – on en fera peut-être quelque chose dans la maison[s]témoin
dehors il pleut (le jour où la pluie viendra/nous serons/toi& moi/les plus riches du monde hein)
dans la boite numérique Voyage avec mon père (Julia von Heinz, 2024) (titre original Treasure (wiki indique titre de travail Iron box) – adapté d’un roman (probablement assez autobiographique Too many men par Lily Brett, 1999) (difficile et pathétique) (une journaliste musicale se rend en Pologne avec son père, survivant de la shoah passé par Auschwitz : retour (impressionnant) sur les lieux en petite voiture de golf – road movie en merco – l’image donnée de la Pologne très dégradée)
* : lorsque de tels manques se présentent (ce n’est pas rare), l’explication la plus plausible (probablement puisque la première) qui me vienne à l’esprit (c’est même fréquent) est celle que donne ce jeune Doisnel à son prof/instit (attends que jte trouve le nom de ce garçon : Guy Decomble
) lequel s’entendait répondre « ma mère est morte » – une explication comme un peu une autre – fausse peut-être mais au moins crédible