Hôtels Modiano 70bis
Hôtels Modiano un (genre de) feuilleton : illustre pendant le week-end les établissements hôteliers cités dans les divers textes de l’auteur et suivant les lecture du rédacteur.
on en est à se demander qui illustre quoi – ou l’inverse – le texte ou les images – le texte est assez réduit – beaucoup de questions qui demeureront sans réponse – il s’agit d’un lieu unique – un bis pourtant – dans babylone mais caché aux regards, peut-être pas soustrait : en arrière cour sûrement c’est là

plus près

et puis

cour jardin qu’en sait-on ? mais en tout cas pas plus d’ « entrée des artistes » sur la rue que de beurre en branche

enfin peu importe – un album disons, avec quelques légendes – il y a bien un hôtel où vivait un de Botton, Raymond, mais on ne sait où il se trouve – apparaissent seulement dans la notice (la légende) (le texte) consacrée à Gurdjieff (on en entend parler dans les souvenirs dormants) deux établissement classés dans les palaces parisiens (je suppose, je ne tiens pas d’annuaire de ce type d’officine) le georges vé comme disait brel (en l’honneur de l’avenue dédiée à stgm roi d’angleterre je suppose) (s’appelle 4 saisons, comme la marchande) (une nuit 1665 euros – prix moyen) et le plaza athénée (avenue montaigne triangle d’or tout autant – 1735 la nuit) – on regarde le restaurant de ce dernier : des œufs,certes (non, mais de mayonnaise non)

du caviar, oui – 190 pour deux – non mais il ne faut pas se focaliser sur l’addition – et donc les entrées, (en réalité ce sont les mêmes – loufiats bagages et voitures de luxe : rien de neuf sous le soleil…) ici le georges 5

là le plaza (au portier en blanc)

pas trop d’intérêt (enfin, y en-a-t-il dans ce feuilleton ? le doute parfois m’étreint…)
l’album intitulé 70 bis entrée des artistes écrit et illustré (ou l’inverse) par Patriiiiiick Modiano et Christian Mazzalai (ou le contraire) paru chez madrigal – on a pu ouïr (mais c’était parfaitement inutile, cependant) les deux auteurs dans le poste, un midi et le titre dans leurs augustes langages se transformait en « soixantedibisse » (rue notre-dame-des-champs) – au vrai, ce sont des pistes qui pourraient être suivies dans d’autres textes plus écrits, disons

