Pendant le weekend

2454 Lundi 12 Mai 2025

 

 

 

 

très en dehors du truc – sans travail mais avec pas mal de cuisine (charcutière/fenouil/fromages/fraises au menu) – le livre des policièr.es du treize novembre en passe d’être absorbé même si ce n’est pas que ce soit un panégyrique mais non loin (ce sont des gens ordinaires parfois gais quand on est triste il fait mauvais : sans opinion  politique, férus d’ordre et de discipline, confrontés aux pires errements de leurs congénères (un peu comme les pompiers) – mais en oublier Nahel ? Ou Remy Fraisse ? Ou encore Romain D. ? Des « bavures » ?) – une  affaire de garçons-vachers – mais peu de filles-vachères bien que la profession tende à se féminiser – travail sur Le cinquième plan de la Jetée (j’aurais aimé en faire un découpage plan à plan et expliciter tous les visages qui sont à l’image : impossible) – en direct de quelque part vers Bruxellles

ah oui quand même (est-ce Albert ? deux ? A2 était déjà pris cependant – ah non (je retarde…) c’est Philippe – P1 donc – en tous cas ce sont « ses » serres) – le monarque offre à ses fidèles sujets de visiter son domaine rosier une fois l’an semble-t-il (quelle abnégation…) – merci !! –

une petite promenade fleurie ça ne peut pas faire de mal

j’y retourne immédiatement (au boulot) (ça doit sentir bon: pour le moral, rien de tel…)

 

dans le poste Le vent de la plaine (The Unforgiven, les impardonnables ou au singulier peut-être  – John Huston, 1960) western actions Lancaster/Hepburn (bah)

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2 Comments

    Ah, je veux le regarder ce soir Le vent de la plaine !
    (hier, j’ai tenté Les trois jours du condor, et puis comme à chaque fois avec Sidney Pollack un truc m’énerve, je ne sais pas quoi, dans la façon de se placer, ou de nous placer)

  • @cjeanney : (de Lumet le film de procès avec Paul Newman en alcoolo repenti n’était pas mal – Le verdict – 82 – hollywoodien Lumet et gros lourd…) pour le western : assez bof (j’ai lu sur la fiche wiki que Audrey s’était gravement blessée lors de ce tournage – faudrait lire son autobiographie – on l’aime encore assez bien, elle – pétillante et Givenchi hein…). Merci à toi