2611 Jeudi 16 Octobre 2025

je ne garde qu’un souvenir très partiel du film Blow up (Michelangelo Antonioni, 1966) – mais j’ai appris qu’ici (les paravents noirs cacheraient la présence d’un corps dissimulé après avoir été meurtri et occis)

ça travaille à renouveler la lumière électrique – un agent de sécurité (comme il y en a dans la maison[s]témoin par exemple) m’a indiqué le pourquoi de ces grands dais noirs

(je cite dans la cour un grand dais noir protège sa mort des regards et puis ensuite ça va très vite le temps que l’on vous décapite
la chanson L’assassin assassiné assassinée d’ailleurs par son interprète (j’en parlais hier) lors de l’entrée au panthéon de Robert Badinter le 9 de ce mois) mais il y eut polémique (un jour, je verrais de quoi il est question – Laure Murat versus Thomas Clerc si je ne m’abuse – #Metoo) – un tour au parc donc – puis vers Belleville

où on honore mon (l’un de mes) pseudonyme(s)

(on n’y voit rien dirait Daniel Arasse je suppose) la fin de la lecture du Bette Davis magnifique et exaspérante (Ed Sikov hors collection 2008) (unabruti a découpé une page des images intérieures : les gens, parfois…) j’aurais plutôt dit extravagante – très sympathique – insupportable sans doute – sieste impossible puis ers 5 heures

vers Laumière avec choux à la crème les ami.es du tiers livre paris (Emmanuelle Cordoliani et Xavier Georgin, bientôt rejoints par A. le désormais époux de la première) m’offrirent cette friandise (encore merci !) pour mon krypto-anniversaire (selon face-wtf-book je serais venu au monde un 10 10 10 – j’y suis pour quelque peu) (après pour le siècle on s’en fout) apportant de ce fait une fort belle lumière à cette journée plutôt grise