2637 Mardi Onze Onze Vingt-cinq
(l’intitulé est probablement le meilleur moyen pour enfouir un billet – il y a des choses à faire ici afin que tout ne se perde dans l’oubli électronique – les centres de données succomberont un jour, ça ne fait aucun doute – un truc des générations à venir : qu’est-ce que ces choses (billets images mots dessins photos) leur apporteraient ? je n’ai pas une grande confiance dans leur pertinence, je reconnais) hier il y avait expo(un billet en maison[s]témoin dès que possible sur le nuancier des couleurs des sables – évidemment le truc était complet jusque une heure trente – et il n’était pas midi – le truc fait braire (ce n’aurait été que moi je me serais tiré en maugréant) – on a vaqué par là

ou là

un peu de soleil – montant la rue vers celle des Arènes ce portillon à quatre vantaux pas tout à fait soupirail mais presque (faudra me repeindre cette affaire-là quand même)

(les volutes vous en plairont je l’espère, Employée) ceci sans le point

l’image intérieure en est passée – un tour dans le quartier disons – les beaux quartiers- ceux de la jeunesse jussieu et le vent les équations et les dérivées les intégrales et les fonctions – j’ai tout oublié (mais non) – dans la gare assez désaffectée, des travaux pĥaraonniques ainsi qu’à ses alentours –

tout ce treizième-là est en effervescence (« quand le bâtiment va » semble être le mantra de cette course en avant tandis que brûle la planète – ou du moins que ses habitants se meurent parce que la planète n’en a simplement rien à faire…) au fond les travaux d’église

on les distingue à peine -je m’en approche pas – et puisque nous étions lundi, une dessinatrice du lundi (je n’ai pas réussi à capter le dessin) qui croquait en quatre ou cinq traits les voyageur.es (la dessinatrice photographiée sur l’air de l’arroseur arrosé, je suppose)

en fin d’après midi au cent quatre L’inconnu de la grande arche (Stéphane Demoustier, 2025) les acteurs (l’actrice aussi disons) sont parfaits, la mise en scène raide, les effets spéciaux indécelables – ça n’en fait pas un (très grand) film – après leloup chez lipp fermé semble assez proche d’une certaine réalité abjecte (l’entrepreneur de la Défense en son entier) – d’ailleurs le ministre du budget cohabitant (droit dans ses bottes/le meilleur d’entre eux/trésorier du parti) (hein) le recommandera puisqu’ils sont du même bord de tonneau (ou de poubelle) – la boue, les intrigues, la paranoïa et le tour est joué… (en maison[s]témoin un billet présente les acteurs de l’affaire)


Mince mon commentaire s’est fait la malle, c’est pas grave, ce que je disais d’important dans tout mon blabla oubliable c’était que « Fellini des esprits » sur artetv c’est bien (bises !))