Pendant le weekend

(2670) Carnet de voyage(s) #153

 

 

(je m’aperçois que rien n’a été donné du voyage en Italie de cet été – sans doute une erreur, un oubli étourderie maladresse etc. mais ça viendra) (sûrement) ici quelques jours (trois) au Havre (l’appartement témoin ne se visite pas le lundi et le mardi – et le dimanche on n’y a même pas pensé – il pleuvait c’est vrai aussi et l’arrivée vers deux heures ne favorisait pas non plus la réservation – il faut réserver – font braire c’est vrai aussi – enfin) on a parcouru les quelques kilomètres qui nous séparaient du musée – sur les quais – André Malraux l’ont-ils intitulé (entre ici donc – parfait) – un début d’assez bon augure (il y a dix ans, en résidence par là…)

les prises de vue toujours compliquées – elles sont souvent réminiscences simples aussi – ici le cartel

manque de point – tant pis – (né à Paris 1839, décédé à Moret-sur-Loing en 1899 dit-il) on parcourt

contemporains –

la Normandie – le soleil – hum.

un musée au bord de la mer  et de grandes baies donnant sur elle – très réussi –

le départ des transatlantiques –

et puis

JR dans l’expo tempo – avec la Varda par là, pas loin je suppose – qui hante un peu – j’ai oublié, mais ce remorqueur nommé Abeille

 

me dit quelque chose (peut-être amoco cadiz) – ça se peut, est-ce de la pluie – il y a aussi un étage

au loin s’évadent les porte-conteneurs

on le discerne à peine, un peu comme le feu vert, tramé – cette figure de proue et quelqu’un qui passe aussi

très bel ouvrage (de plus, au sec) et le plaisir de retrouver la panthère noire de Pompon François (il y en avait aussi une blanche mais elle n’a pas voulu se laisser prendre)

de nouveau Pissarro (à Barcelone, un jour, je me souviens aussi) (et le lien d’entre-glose)

ce Camille-là aima autant Paris que nous autres – mais voilà que Henri 4, sa messe et sa poule-au-pot (ça tombe bien, on est dimanche) me semble à l’envers

l’aurait-on retournée ? non

voilà – c’est fini

avec un peu d’été amalfitain

à suivre – dimanche prochain

 

(on a quelque difficultés à s’en apercevoir, mais en faisant un compte simple, on comprend sans doute aussi que les femmes ont du mal à devenir des artistes (fussent-elles maudites, cette grande figure stéréotypée) – à le rester – à l’exposer) (il est vrai que l’édile de la ville… passons sans le citer, mais en l’exécrant) (add. de 12h35 : il est vrai aussi qu’on pouvait voir une aquarelle (peut-être bien) de Marie Laurençin (comme disait jo dassin) mais elle n’eut pas l’heur de plaire à l’opérateur – de là à y voir (ou soupçonner) une conduite genrée, il y a un pas)

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