Pendant le weekend

2685 Lundi 29 Décembre 2025

 

 

rêve du Japon (jamais je n’irai sinon par ce moyen – ou le cinéma qui n’est qu’une illusion d’optique) – des constructions hautes tours comme on peut en voir en Chine – (où je n’irai jamais non plus) le pierre bayard est terminé – hitchcock s’est trompé analyse filmique assez serrée du Fenêtre sur cour – trouvé un classement des cent meilleurs films du monde (on regardera ça en maison[s]témoin – le premier est Freaks c’est pour ça (Tod Browning, 1932) encore que je ne retrouve plus d’où j’ai copié cette liste : ilme semble y trouver beaucoup (trop) de cinéma étazunien – on verra bien) – un tour du côté de l’hôtel de ville et du jardin du souvenir (c’est là mais c’est sans image – le robot n’est pas encore passé – image juin 22 proclame-t-il)

ouvert en avril 2025 si j’en crois l’histoire narrée par le site de la mairie – ils en font des tonnes – ça ne fait rien, il y a au fond de l’image un orme assez centenaire – l’église (saint-gervais) est dans un état pitoyable, vitraux cassés etc. – dans le même état de déliquescence pathétique, le grand magasin bazar promis à venir un hôtel de grand luxe dès qu’il sera déserté par la clientèle (c’est en bonne voie, on remercie vendeurs et acheteurs des murs) – comme la poste, la bourse du commerce le louvre des antiquaires la samaritaine – paris est une fête c’est certain mais pour qui ? – en passant dans ce quartier de plus en plus pourri les néons fleurissent en toutes vitrines – c’est décidément la mode oui – le matin je passai par là

le rideau de fer levé, le ménage fait

max s’en est allé

le local est assez plaisant, on y verra peut-être un salon de coiffure qui sait ? toujours le selfie

restons dans l’anonymat – je ne résiste pas à la divulgation de cette image (©VB) portée à l’invent’hair (prise à Marseille vers l’Endoume

là où s’installeront peut-être le président et la trésorière – librairie tout à fait recommandable dite Pantagruel)
et aussi cette tête de fauve bleue (#488)

 

au ciné luminor (grande salle, sinistre mémoire) Des preuves d’amour (Alice Douard, 2025) comédie romantique parfaite (bien qu’on soit enfumé avec un 42 rue de Crimée (immeuble pourri AFSI) au lieu du 25 rue de Belleville (d’autant que les deux héroïnes y passent) qui, lui, est un des plus beaux immeubles de Babylone)

 

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