Pendant le weekend

Quatorze quinze

 

 

(beaucoup aimé les usages du cinéma du désordre (je mets un lien, mais enfin, pour aboutir à cette chronique…) (dédicace spéciale pour le titre de l’article du jour à PdJ) (c’est pas pour dire, mais c’est quand même un peu le bordel dans ce désordre (c’est pas pour dire) parce que le film -si cela peut encore vouloir dire quelque chose à propos d’un produit de Tarantino- mais à cause des usages (wtf) formidables de nos contemporains des salles de cinéma à plus de deux mille places) (bizarrement, aux dossiers des divers fauteuils de velours rouge, on ne trouve pas de sacs à dégurgitation comme ceux qui sont aux avions) (étrange coutume de notre monde contemporain) (hier soir c’était « El Clan » (Pablo Trapero, 2015) qui sublime (presque) le parcours d’une ignoble ordure : ainsi va le monde, le cinéma n’est plus là pour nous aider à vivre (l’art a cessé d’exister) mais plus pour nous refourguer une version répugnante de notre propre humanité en temps de fascisme) je m’en fous et je me bats (comme disait le camarade Léo), voilà bien le truc : ici Virginie Gautier qui nous lisait ses parcours ferroviaires (qu’elle en soit encore ici remerciée) doux et profonds

23 janvier 11

(image issue de la soirée (« matinée » dirait Lucien) magnifique offerte par l’AiR Nu et ses invités aux publics de la résidence CCMSL le vingt trois janvier seize)

 

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