Pendant le weekend

Douze treize un trois cent dix huit dix neuf

 

 

(j’en ai presque fini de ces affaires : des contrôles de réalisme pour la saisie – j’invente le terme je ne trouve plus l’exacte intitulé – et la compta (rien de fini mais ça avance) – refaire factures plus ou moins merdiques ou autres etc etc)

(on croirait presque une photo à l’envers : il s’agit du sous-terrain menant aux ex-écuries des Pompes funèbres de la ville, requalifiées en CENT QUATRE de nos jours) (qu’est-ce que ça fait là, c’est une autre histoire, sans doute en relation avec Augias – ça fait beaucoup, et je ne suis pas hercule non plus)

croisé ces deux types en train de nettoyer une vitrine coin Rennes/Coëtlogon (?) peut-être bien et ce mur depuis longtemps répertorié ici qui nous fait une photo carrée

carré dont on s’est emparé lors de la réunion de L’aiR Nu pour réaliser des dispositifs dont on reparlera – à noter que les 27 et 28 de ce mois L’aiR Nu captera (probablement) les Incipit parallèles à l’exposition de Mathilde Roux, ici

qu’on se le dise…

(Brune apparaît page 80, quand même) Au cinéma, « Ouvert la nuit » (Edouard Baer, avec Edouard Baer dans 98 plans sur cent, 2016) réussite de l’image magnifique (Yves Angelo, trop bien) et de la musique (y’en a des dizaines, j’ai cru entendre Catherine Ringer)- comédie à la française, seconds rôles efficaces et Paris by night à tous les étages – (à voir si on aime rire et Baer)

 

 

Share

2 Comments

    c’est bien Edouard Baer d’avoir laissé 2% des plans au reste du monde
    (et gardez vous de devenir un Hercule)

  • Chez Uber, on s’est lancé dans le ravalement de façades…