Pendant le weekend

Vingt sept cinquante huit (an II)

 

(encore une pince à linge ? sans doute, tant pis) entendu ceci et lu cela, en accord (hier, dans le métro « un retard de dix minutes est à prévoir sur la ligne a du rer dû à un problème de voies » quelque chose comme ça, je me dirigeai vers le Paris-Rome boire un café, à l’entrée un marteau-piqueur défonçait la chaussée et les tympans -zeugme- on est parti vers chez Augustin, cafés verres d’eau (4.8) assis discuter de tout rien ça autre chose je suis reparti saisir (le rer ne fonctionnait pas, ou mal ou merdalafin) en passant rue Biot vu cette cordonnerie (à côté du coiffeur « La tête au carré »)

rangée mais de travers (enfin le cliché) (j’ai pensé à ce type, ena et compagnie, qui rangeait sa poubelle avec application et soin), on fait ce qu’on peut, on fera ce qu’on pourra (l’ordure à nos portes, aux manettes en Hongrie, pratiquement semblable en Russie, en Turquie, aux us… à l’école on apprend la prise du pouvoir par l’immonde bénito, l’abject inqualifiable adolphe, et tant d’autres : voilà comment les choses procèdent) j’ai continué à travailler, de retour après les courses fait à manger lu ri joué tout est là, il y avait cette chanson de Maxime le Forestier qui faisait « jm’en fous de la France on m’a menti on a profité de mon enfance », oui, on, si j’étais arabe ou musulman je n’aurais pas ces effarouchements de gazelle devant un vote pour le micron mari de l’héritière du macaron (faudra vérifier, on verra, on s’en fout de son mariage mais première dame de France quand même – on a bien eu une locataire – ou propriétaire – villa Montmorency, on n’est plus à ça près – jte parle même pas de l’inqualifiable nono et sa productrice, au secours…!) son type a presque quarante piges et je me souviens de crâne d’oeuf au même âge que ce micron-là

(là il est plutôt au volant d’une Renault mais on s’en fout  (encore que Renault durant la guerre avait de ces fréquentations…)) qui se repeignait seul dans sa ds avec quand même

(d’accord c’est un hélicoptère) Depardon qui filmait – le futur wtf académicien fit interdire quand même le film – on a sa petite et misérable fierté – durant son passage dans les palais de la République terminé d’un « au revoir » sublime) (« 1974, une partie de campagne » 1974, Raymond), des envies de gerber, entendre à longueur d’ondes l’ignoble fille du borgne qui, à présent, n’est même plus la candidate d’un parti ( on n’est jamais à une trahison près : personne ne moufte, là-bas ?), mais d’une classe entière, et même de tous les Froggies  (c’est que le ridicule ne tue pas : si ce n’était aussi dégueulasse, on en rirait bien, tiens) enfin, voilà on sait ce qui nous reste à faire. No pasaran, tu te souviens ? Pfff…

 

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3 Comments

    merci pour la découverte (pour moi) des Saltimbanks, Jacques Bon l’avais lu en accord (il y avait aussi cela paru presque en même temps de Joachim Séné avec notre part de responsabilité http://jsene.net/spip.php?article968 et la consolation de lire textes un peu fouillés avec lesquels on est aussi en résonnance
    merci pour le rappel à la suite
    une envie de fuite (en faisant le nécessaire mais en tentant de le faire avec détachement)

  • La cordonnerie jouxtant le coiffeur qui a la tête au carré pourrait tout aussi bien s’appeler les pieds au carré vu ses petites cases.

  • J’avais reconnu Depardon sur la photo (en plus jeune, forcément, à l’époque) avant de lire sous la photo.
    Il me semble que le docu interdit est repassé depuis à la télé.

    La MLP, je l’ai baptisée, la voyant chez Whirlpool : Machine à Laver Pétain.