5 avril 1031
dans le métro hier, revenant du séminaire (le midi au déjeuner, on a discuté le coup – beignets de calamars choux rouge cuit et riz, poivrons rissolés : quelle cantine…!) , je ne sais pas ce qu’ils avaient
![](http://www.pendantleweekend.net/wp-content/uploads/2019/04/bouquet1-1-e1554445903592.jpg)
chacun fait ce qui lui plaît dit la chansons, certes
![](http://www.pendantleweekend.net/wp-content/uploads/2019/04/bouqte-2-1-e1554445982250.jpg)
ça ne fait que deux bouquets, tu me diras – casques portables yeux fermés: tout pour oublier – moi, depuis soixante dix, j’aime le métro – il devient un peu impossible, mais je l’aime quand même – sans doute en souvenir d’Agnès Varda – j’avais été, le matin même, faire cette petite image des potelets décorés de la rue Froidevaux (le petit fils de la réalisatrice les a décorés pour se souvenir honorer louer et rappeler la coiffure de la charmante)
![](http://www.pendantleweekend.net/wp-content/uploads/2019/04/potelets-froidevaux-1-e1554446141369.jpg)
qu’il en soit, ici, remercié.
Aller au travail, relire la nouvelle, revenir du travail, relire la nouvelle, corriger enlever un mot deux trois quatre mille au cordeau – c’est la contrainte, c’est la consigne, j’en sais rien, c’est égal, publication probablement demain – toujours la même histoire, le terrain reprend comme la fatigue et l’ennui mais n’est-ce pas aussi par lui qu’on se réalise ? Tant pis, tant mieux, peu importe, aller.
Varda restera : la dernière photo est un travelling en attente de l’injonction : »Partez ! ». 🙂
oh la jolie idée !