Pendant le weekend

1293 samedi 28

 

 

(dans le canard, faut-il ou pas se mobiliser pour le réveillon du nouvel an ?) (les questions du canard : la libido qui s’empare des pages du week-end, tu as remarqué j’espère – comme »l’enlisement » de la lutte contre l’ordure de réforme des « retraites » – on finira par n’écrire qu’avec des guillemets partout) (le quotidien de référence en vente en début d’après-midi a bien changé) – enfin il faut quand même faire rentrer du bois pour l’hiver

lequel ne semble pas si rigoureux que je l’imaginais (on me dit « attends, c’est pas fini »  » : certes…) marcher en travaillant (les schtroumphs de blanche neige c’était « siffler »moi c’est marcher) pour y aller et en revenir – parfait très bien j’adore – je change d’itinéraire, je marche, je sifflote, je bosse et je reviens – il y avait un acrobate magnifique (de ce fait je me permets cette image- mais il se peut que je la retire dès demain – je n’aime pas montrer cet endroit, c’est ainsi – surtout que ça fait deux fois en deux jours consécutifs –  j’ai de ces frayeurs de midinet parano parfois jte jure – des choses à faire, notamment en écriture, j’aimerai anonymiser) (mais c’est impossible je sais bien – ça ne m’empêche pas de lire le « tous les hommes n’habitent pas le monde de la même manière » (tu vas me dire « c’est « façon » pas « manière »  » certes) (Jean-Paul Dubois 2019 goncourt de l’année si j’ai bien suivi – c’est un cadeau – marrant comme tout – probablement un peu trop genré mais on va voir)

spectaculaire en effet (tout le monde applaudit l’exploit)  – un appel : ah bah oui la vie est difficile – courage courage !!! – mais parfois aussi elle est si belle – et on est là – courage !! – il reste encore quelques jours à bosser, et puis l’année et puis une autre et puis le printemps probablement (comme le disait bresson du diable)

au cinéma avant hier La vie invisible d’Euridice Gusmao (Karim Aïnouz, 2019) magnifique (conseillé par l’Employée aux écritures qu’on remercie) (à chroniquer Rio de Janeiro années 50 – et cette image… due (en partie évidement) à Hélène Louvart)

hier le lac des oies sauvages (Diao Yinan, 2019) (zéro pointé) plus vulgaire, tu meurs…

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2 Comments

    merci pour le conseil cinéma que malheureusement suivrais sans doute pas (quoique… demander s’il passe à Utopia à Youssouf, stagiaire de 3ème, le jour où il est projectionniste – sourire – non en fait paresse et puis plutôt racheter riz, patates, tomates pelées, savons, fruits etc… là je repasse la liste de demandes Roosmerta, et finis par être un tantinet fauchée)
    mais oui la vie est belle et on sourit
    (la précédente grande grève celle qui a gagné pour un temps, marchais puisque j’étais à un peu moins de deux heures de marche et que les secrétaires étaient en banlieue et priées de rester chez elles, avec mes béquilles et ça a rendu inutile les rendez-vous pour me rééduquer… plein d’avantages 🙂 – souvenir d’embouteillages qui aidaient parce qu’on se sentait supérieurs en claudiquant et les dépassant

  • Pas lu le Dubois, pas vu les deux films dont tu parles (j’aime faire une cure de non-cinéma)…

    « Le Monde » n’est plus celui de HBM ou de Jacques Fauvet (et avec un rédacteur en chef qui s’est appelé un moment Edwy Plenel …), parfois on lit des titres que ne renierait pas « Le Figaro » comme ce beau « le gouvernement risque l’enlisement »…
    Hélas, « Combat » et le vrai « Libé » n’existent plus !

    On s’informe en grappillant ici ou là.