Pendant le weekend

1569 Jeudi 24 Septembre 2020

 

 

cette honte bue : le ministre de truc « nous appelons les Français.es (inclusivons sûrement et correctement – NDC) à réduire les interactions sociales tant dans la sphère publique que dans la sphère privée » – fascistoïde ou bien ? je me demande un petit peu parfois – je finis par oublier – je lis aussi « zone d’alerte renforcée » j’adore (ZAR !!!) , je vois et j’entends les comptes-rendus de commission sénatoriale et la ministre des armées qui n’a pas menti, non, bien sûr que non mais qui a altéré la réalité (je pense à l’autre abject peroxydé, au tsar de pacotille, à l’ataturk à la petite semaine – j’oublie les Philippines et le Brésil et tant d’autres joyeusetés révélées par cette épidémie au dos extrêmement large et bon (85% des lits d’hôpitaux devraient être occupés le 11 novembre annonce-t-on : ce genre de chiffre beau comme l’antique…) – je préfère lire (je me suis offert « Mort d’un voyageur » (Didier Fassin, seuil, 17 euros), « smartphone » (Nicolas Nova, MétisPresses, 26 euros) (ce dernier dans ce genre d’édition de chiottes aux chapitres marqués de feuilles roses (le »smart » du titre du même tonneau, cette merveille : fo) – des images – cette modernité à vomir) – mais tant pis le contenu importe sans doute plus) – trouvé le « Nocturne indien » (Antonio Tabucchi, 10/18) (magique ou magnifique livre de poche – le prix n’est pas indiqué – 1987) où on trouve cette jolie liste

qui est un répertoire – je suis allé voir (une pensée vers l’ami Olivier – et son fils S. – et le courage qu’on leur envoie) mais l’Inde n’est que peu parcourue par cette saloperie de robot – des gens donnent des images cependant  – les plages de Goa le matin

(hum…) et le soir

(re hum…) mais surtout j’ai trouvé la gare de Vasco de Gama qui sert de décor au mien atelier d’été (je suppose)

d’ailleurs nous sommes en automne – et comme cette foutue saison ne prête pas spécialement à la rigolade, prenons-en un petit bol quand même ici avec un si joyeux drille en chaussettes fines de boyard (uniforme républicain s’il en est)

ce qu’on appelle la dignité aux barres parallèles (non, mais les paparazzis ne respectent rien), qualifiée ici par le capitaine maxé

 

 

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2 Comments

    c’est bien de lui donner le dernier mot (au capitaine hein, pas à l’autre qui m’exaspérait déjà dans mon enfance)

  • ^^Nocturne indien^^ : ce film si prenant…

    Blanquer, voilà une jolie « tenue républicaine » (il va finir par faire le grand écart et se retrouver à l’hosto)… 🙂