Pendant le weekend

1968 Samedi 30 Octobre 2021

 

 

 

j’ai fini par envoyer the wtf Norma – ces nuits-ci je dors comme un bébé – la vieillesse sans doute, non que je m’en sente mieux d’ailleurs – le rêve de cette nuit me faisait faire des confitures de mûres mais le transvasement dans une toute petite assiette blanche se passait mal, l’assiette était brûlante et tout son contenu se trouva renversé dans une autre plus grande, plus un très bon peu sur le plan de travail – difficile de savoir s’il s’agissait de la cuisine d’ici ou de celle de la campagne – mais je crois plus qu’il s’agissait de celle de A. – décrite plus ou moins (son emplacement en tout cas) dans la maison[s]témoin (j’ai l’impression d’avoir lu un extrait d’atelier qui prenait pour objet ou base cette cuisine oui – pluie incessante mais la veille ce brave garçon

qui semble avoir perdu quelque chose et puis non

il est assez rare de croiser un humain accompagné de son Diable Rouge (voilà qui ravit) (n’en avons-nous tous pas un ?) (on appelait ainsi les tenants de l’équipe de football de la Belgique – non, mais le football, non, jamais – le rugby passe encore jusqu’au tournoi à six nations, mais sinon ainsi que Winston C. (blood sweat and tears) à partir de 25 ans (STGME2 indisponible : ce genre de nouvelles un peu hirsute me glace – d’autant qu’il y a là, aujourd’hui, un fucking anniversaire malheureux (on changera d’heure) – retrouvé ces images chez l’ami Pierre Ménard, tiens je te les pose avant les choucas

petit intérieur complètement dévasté – intitulé la chance – la chanson où la Birkin chantait « ne remue pas s’il te plaît
le couteau dans le plaie (play) » tu te souviens ? – moi oui (pas si mal)

dans le genre de travail au diable – sans doute l’abandon momentané de tentatives de chercher du travail y est pour quelque chose – sans doute) – au ciel hier soir les choucas

s’en donnaient à cœur joie – je dis choucas mais il se peut que ce (ne) soient (que) corneilles

je crois que ce que j’aime dans les photos, c’est le calme d’Olympe qui s’en dégage parfois

ensuite pastaltonno

 

cinétek Le faux coupable (The wrong man) (Alfred Hitchcock, 1956) (image Robert Burks, magnifique – n&b)

 

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2 Comments

    Le jour où on verra des Stukas, on se croira dans un film de SF ! 🙂

  • @Dominique Hasselmann : ou de guerre plutôt…