Pendant le weekend

1973 Jeudi 4 Novembre 2021

 

 

 

peut-être trop plein – téléphone « c’est cette nuit que ça s’est passé, il est parti sans trop souffrir, dans son sommeil »

on ne pourra plus lui demander si la planche qui pèse un gros quintal, bordée d’une rigole, avec ce petit réservoir arrondi à l’un de ses coins, posée sur la terre battue du grenier lui a appartenu (il a fait boucher, avant de parcourir les routes en représentant en viande) – hier, disait santé publique france, trente neuf personnes ont été fauchées par cette saloperie – salut à toi, H.

trop de pluie, hein

– le parlement croupion remet le truc pax à fin août – à mourir de rire – lectures (quelque chose de la perversion (encore, à la mode sûrement, mais le livre date de 2007) « mon traître » de Sorj Chalandon – bof) (le voyage à pieds de Berlin à Moscou) (celui autour de la mer Noire) (Norma), patalasauce (merci pour les marrons), un nouveau billet pour « ville et cinéma » sur l’aiR Nu, sur le feu – un peu de douceur quand même (Nicolas de Staël, taxée chez madame Arnaud)

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4 Comments

    et Staël pour sauver le tout
    (navrée pour le deuil)

  • Je me souviens toujours de l’expo N. d Staël au Havre dans ce merveilleux musée qui ouvre sur la mer et où les « marines » n’ont rien à voir avec la fille hyperoxydée qui se fait déborder sur sa droite par un gugusse sans honte et sans programme autre que sa débilité journalière, son ignorance crasse (ou négationnisme affiché) de l’Histoire dans les poubelles de laquelle il sera renvoyé en avril 2022 si les Français lui montrent qu’ils ne se laissent pas rouler dans la farine même battue en sous-main par des médias à la botte du capital « drivé » par un ex-énarque qui a supprimé lui-même l’école qui l’a fabriqué. 🙂

  • @Dominique Hasselmann :(quel phrasé…) ce qu’on peut l’aimer ce Nicolas-là hein (bis repetita)…

  • @brigitte celerier : ce qu’on peut l’aimer ce Nicolas-là hein