2183 Mardi 31 Mai 2022

insomnie quand tu nous tiens – un article du Guardian, plus un de l’Independent, pour tenter de réussir à continuer l’atelier (dialogue 5 – transversales 6 :pas encore écoutée) – l’ampleur de la tache m’effraie un peu – après tout je n’ai que ça à faire (sauf Mimmo et Mernoire) – la route de retour – se perdre – revenir aller encore – cinq heures et des économies de péage plus loin (le litre à 1.94) – back in Babylone (OSEF pas tellement) (bolo le soir pour le dîner avec J.) – en attendant mieux, les pousses de la haie (au bout de la haie, des hautes futaies et une haie de Benjès réalisée l’année dernière qui tient) mais d’abord ceci venu incidemment sur le champ

fait beau – ici les érables

les ficelles marquent l’emprise de la haie et indiquent son emplacement au faucheur intempestif qui ne tardera pas à se manifester

(jy ai donné un petit coup de grelot – laissé un message – sans succès non plus que de réponse)

l’homme est âgé – mais la haie est balisée – ici un épineux spontané

là un chêne de la même provenance (on l’a indiqué au faucheur municipal afin qu’il l’évite – le faucheur du champ l’a étêté l’été dernier (il ne l’avait pas vu) – bof : le végétal s’en fout et croît et embellit)

(on aperçoit aussi le bout de chiffon/drapeau blanc pour tenter de faire cesser les abattages) – ici un laurier

là un non-identifié

et encore une fois le buis qui revient de très loin

de l’autre bord sont un lilas, un autre truc acheté à la foire aux plantes l’année dernière plus autre chose encore (sans compter le figuier du bout du champ – dans les orties) – on essaye de faire survivre les choses et les plantes – et enfin ici le petit rosier du jardin

en face Une vie simple (Ann Hui, 2011) (réalisatrice hong-kongaise – elle est de 47) splendide (Deanie Yip dans le rôle de la nourrice – rapports de classe et presque documentaire de fin de vie) splendide