Pendant le weekend

2088 Mercredi 14 Septembre 2022

 

 

bad news hein – après on apprend que JLG a choisi de s’en aller et on compatit – on a ici quelques apparitions du cinéaste; celles qu’il se permet d’ourdir ici – en attendant et en pensant à ce que cette vie nous impose, je suis allé me promener dans le dix-huit – la marche à pied, il n’y a que ça de vrai – ici

(fait penser à Rothko qui lui aussi mit fin à ses jours) je me suis emparé de trois spécimens

que je suis allé déposer tranquillement à l’alentour de mes morts – plus spécifiquement d’elle –

enfin non, pas d’elle, mais de sa fille – l’une de ses trois filles plutôt (une autre repose vers Artot avec son père et son frère et les petits, quant à la troisième sans doute vers Rome) – (j’ai vaguement indiqué l’emplacement de la tombe de Iolanda Gigliotti à deux femmes (la cinquantaine pimpante) qui la cherchaient – c’est Dalida en clair – vaguement le souvenir d’un appareil photo volé remplacé par collecte) (écouté pas mal Diane Dufresne qui chantait son Elvis – je l’aime beaucoup (pas Elvis – encore qu’il soit formidablement drôle – mais la Diane formidable elle aussi « l’oubli est un affreux voleur » chante-t-elle) (on se remémore aussi Huguette Gaulin au souvenir tragique) – en m’en allant cette réunion

et cette fresque

Andrea Pozo et sa fille, par Lula Goce

(je veux bien poser une légende mais je ne sais qui sont ces artistes, espagnoles certes, galiciennes je crois)

 

en maison[s]témoin, l’index onomastique du livre de Mimmo Lucano

 

 

 

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4 Comments

    berçons nous et affrontons les bad nouvelles

  • Arrosoirs du soir, espoir.

    JLG aura terminé en beauté. 😉

  • @brigitte celerier :haut les cœurs!!! (merci à vous)

  • @Dominique Hasselmann : il était épuisé (merci à toi)