Pendant le weekend

2301 Jeudi 13 Avril 2023

 

 

 

le dégoût à nouveau avec les propos de la future ex-première ministre qui court après ceux, non-moins abjects, de son subordonné violeur (l’homme veut devenir calife à la place de la calife – ça n’est pas drôle – qui veut noyer son chien… – comme le sultan aime ce type de concurrence, il jettera incessammant de Matignon son fusible) (le fusible a peur : il a tenté « l’apaisement » mais en fait, non) en attendant on défilera taleur – ceci croisé hier en arrivant

(bulgare en bleu) et puis quand il a fait beau

fin d’hiver (froid et pluie, sans doute, mais aussi floraison)

dès 7 ce matin, « j’ai retrouvé mon pas sur le glabre bitume » (tout comme le toulousain) – je suis passé par là

cholestérol/triglycérides/pfr enfin tout le bazar est normal – je n’aspire qu’à la paix

 

au cinéma L’astronaute (Nicolas Giraud, 2022) (frenchie) à pleurer
en dvd Les acacias (Pablo Giorgelli,2011) (argentin) magnifique
L’enfant de Goa (Miransha Naïk, 2017) (indien) violent acéré libidinal (les enfants du réalisateur jouent les rôles de deux (très) jeunes amants, elle le jette à la fin) édifiant
en face  Vacances à Venise (Summertime) (David Lean, 1955) (united kingdom) Katharine Hepburn splendidissime (Isa Miranda, aussi) (et Venise en personnage presque principal) (Lean avant Kwaï, Lawrence et Jivago…)

en lecture Irréfutable essai de successologie (Lydie Salvayre, seuil) – décapant et sympathique (on l’aime bien)
Des nouvelles de Antonio Lobo Antunes (livre des chroniques, III et IV)
acheté le Rivière de Lulu deuch’nord (cours toujours, 2022)

 

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4 Comments

    Donc, un café de la Paix… 😉

  • @DominiqueHasselmann : normal quand on aime le cinéma hein…

  • contente du retour d’un des cinq blogs que suis désireuse de continuer à suivre peu ou prou 🙂
    masse pied et jambes pour tenter de rejoindre pour une fraction de trajet notre manif locale (pour les livres je fais une cure Calvino avec livres parmi les moins lus comme « Temps zéro » jubilatoire cette nuit

  • @brigitte celerier: content de vous retrouver… merci à vous