Pendant le weekend

2575 Lundi 15 Janvier 2024

 

 

 

vaguement le sentiment que galope le temps
une espèce de bourrin
trop froid pour sortir – plus le temps passe plus le froid me gagne (je garde le souvenir de Cava d’Aliga – ne pas bouger et suer comme un bœuf (est-ce ainsi que nous suons alors?) – mais le monde a défilé contre la loi inique) (sans moi – sans moi non plus pour réclamer le cessez-le-feu samedi) – en souvenir sans doute

ici le portrait (IP3Press) d’un photographe,  Rémi Ochlick, assassiné en Syrie en 2012 – assassinat resté impuni – vingt-huit ans…
je suis resté chez moi à écouter les mots de Céleste Albaret (la dernière gouvernante de Proust) dits par Lara Suyeux – (cadeau : encore merci!) qui fait une suite au roman familial (re-cadeau …!!!) (encore Merci donc) – oublier le monde, des discussions de terreur – cette guerre, ces guerres – cuisine (tarte aux pommes, appareil confiture de poires)

 

 

en face Pitfall (André De Toth (un des 4 borgnes d’Hollywood (+ Ford, Walsh et Lang) – marié (comme ZsaZsa Gabor) sept fois)), 1948) scénario en acier (après les transparences sont sans doute trop datées)

 

 

 

 

 

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5 Comments

    Il est vrai que les « transparences » (oui, je sais ce que c’est : filmer en studio des personnages dont un au volant dans une voiture immobile, alors que des paysages ou des rues défilent derrière eux pour faire croire que la voiture bouge) datent certains films, comme maintenant toutes les prises de vues par drones fixent déjà dans le temps les séries et autres films voulant prendre de l’altitude. 🙂

  • nous avons eu même omission..
    les films datés par des modes ou imitations dans l’air d’un temps
    comme les voix le sont (avant 6O en gros tous les hommes à la radio et dans les films parlent du nez, certains avec plus d’évidence)

  • @brigitte celerier & DH : merci à vous

  • c’est pas rien le réconfort d’une tarte aux pommes avec fond poires

  • @caroline diaz : c’est certain que ça aide bien, oui…Merci à toi