2603 Mercredi 8 Octobre 2025

hier j’étais de dix-huitième (je revenais du 19 pour aller chercher des aiguilles pour machine à coudre 70 et 80) – marche et pensées (les choses en cours, les lectures, les écrits – j’avais à l’idée un texte réflexif pour Aldo qui ferait le lien entre les événements extérieurs retenus et explicités dans la chronologie et les souvenirs que je garde de ce moment de bifurcation personnelle mais je ne parviens pas à me mettre au travail) la rue va du nord au sud

on est pris par une espèce d’ambiance (noter le « Yatoo » qui lorgne un peu sur le commerce numérique étazunien)

on en profite pour  compléter la compilation alimentaire générale

par beau temps, les feuilles jaunies le soleil le vent la douceur – un autre florilège

par deux fois

puis j’ai pris à droite puis au dessus des voies de chemin de fer – me suis souvenu de la prise des vues de Bernard Plossu (c’était là une fois, puis deux)  mais l’image de l’épicerie (je ne la trouve plus je vais la prendre chez cette multinationale

) sise rue de Tombouctou

des centaines d’espèces d’encens

– la jeune femme charmante, la gentillesse le sourire l’élégance – des parfums et des odeurs adaptées à toutes les circonstances de la vie –  merveilleux – marche encore donc

jusque la mercerie de la rue d’Orcel (les 5 aiguilles pour 4 euros) – back à pied encore, rue de Dunkerque cette contemporaine sportive probablement en tout cas assortie

surement un sport mais lequel, c’est un mystère, la gare, la rue LaFayette et ses voies de chemin de fer et dans un tout petit coin

une si jolie petite œuvre… marché (cabillaud/salade rougette/haricots verts/pommes de terre) et une petite sieste – douceur du soleil (le soir, des nouvelles sudètes et napolitaines et un délice d’anchois)