Pendant le weekend

B2TSaint Merry 2597

 

 

 

c’est probablement la proximité de beaubourg, dite la grande maison par la claude, qui permet de faire un sort particulier à cette exposition de rue – sur un pilône – devant cette école

une histoire qui n’a aucun sens racontée par un idiot – les enfants les chiens les grands-parents les instituteurices la cantine –  on assistera ici à la double peine, des présentations assez saccagées

et des images réalisées par un individu effrayé par sa pratique(comme s’il avait quelque chose à craindre – un mauvais mot, un coup, un assaut, une déportation : on en est là… – après on n’a pas peur de le dire) des images

de jeunes gens

déjà croisées par ailleurs

floues mais recadrées

par ailleurs aussi, la maladie l’emporte (le froid, le vent, le chaud, la sueur)

j’en termine du mémoriale (langue de bois politicienne à mourir, les « du reste » les « bref » je ne l’ai pas lu mais je suis dans les affres de l’inutilité de toute chose)

mon travail d’air lu réalisé (zéro nouvelle…)

des dates de colloque à n’en plus finir (je n’irai pas)

le goût à rien

à cause de la ruine financière sans doute –

je vais oublier

lire cuisiner aller voir le médecin

aller au cinéma

les salles me font souvenir de NK ce n’est déjà pas si mal

ça va aller

un peu délabré voilà tout

blessant mais sans importance – une certaine habitude, sans doute

avec mon meilleur souvenir

 

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3 Comments

    J’ai vu récemment des photos esquintées aussi comme ça : on se demande d’où peut venir ce désir de « dégrader »… Meilleure santé à toi !

  • Mince, c’est moche dis donc. C’est que de la tristesse à la source de tout ça. (bon, mais en regard c’est beau ta lecture pour l’aiR Lu, faut contrebalancer du mieux possible)

  • je confirme prenons soin de nous (et désolons nous pour ce que nous ne pouvons amoindrir de cruauté, de souffrances, de destructions)

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