2506 Jeudi 3 Juillet 2025
quoi qu’il en soit, ce mois-là ne me convient pas – on partait en vacances les jeunes années ou on commençait à travailler plus tard sans plus jamais cesser jusqu’à la vingt-vingt – un peu comme pour les dimanches les fêtes, ce genre de moment où se brisent les rituels pour les remplacer par d’autres – alors non, rien
il y a là une bonne quinzaine de perruches (ça caquette ce type de volatile je crois) (à l’occasion je demande) – elles se cachent sans doute, sans trop le vouloir, puis elles attaquent : j’ai attendu un moment puis je me suis lassé (j’aime encore assez attendre, mais j’abandonne un peu comme pour l’écriture – quelque chose de la velléité) – en cuisine un pain truite saumonée/fenouil/tomates/câpres) la chaleur s’en est allée – tant mieux ? elle va revenir – les centrales nucléaires bouillent – les faiseurs de gouvernement s’enhardissent et ourdissent des pensées perverses et abjectes – l’assemblée est nationale et ils et elles sont plus de cent vingt à propager ce type d’ordure – après on écoute Alexandre Bompard ou Patrick Pouyanné et quand on entend ce qu’on entend de la part du sinistre des finances et de l’économie, on a plutôt envie de descendre dans la rue et de réaliser le rêve de tout surréaliste qui se respecte – est-ce bien un rêve ? ce matin vers quatre heures et quart et le sommeil m’a fui, ça a été sans rêve
l’image est de six heures du soir – des trucs à faire ? sans aucun doute (j’ai laissé le critérium vers la page 80 des souvenirs anthropologiques de Fariba) (la sieste fut longue – vaguement le sentiment andropausique – au café j’ai croisé BB) – j’ai attendu en vain (encore que l’attente ne soit jamais vaine, il me semble) fais tourner en boucle le maniac de flashdance (sans vouloir dénigrer, les paroles sont d’une inanité tellement profonde qu’on ne va pas aller jusqu’à les traduire) (il y a le fait que les liens de l’internet sont faillibles et éphémères : pour la mémoire ce sera bernique – typiquement le sens de ces relations virtuelles, probablement) – le matin, cependant j’avais croisé ce type (une Fender,les trente deux mesures du blues, le petit ampli et le chapeau: chapeau certes !!)
attends jte rapproche
hein (bermuda certes…)
Ces perruches savent vraiment se dissimuler… un peu comme les admirateurs du guitariste esseulé… 🙂