Pendant le weekend

2582 Mercredi 17 Septembre 2025

 

 

 

rappliquage du fisc (au secours) – le maniaque reprend le dessus chez le rédacteur (pour la 14 par exemple) – on sera sobre – on oubliera de s’éparpiller – le japon vieillit, m’a-t-on dit – une nathalie loiseau se retrouve seule à comprendre que l’extrême droite et fasciste : toutes les dictatures mènent aux meurtres et aux crimes et « horizon » ne les encouragerait pas ? vu passer une chronique (probablement de la propagande, ou de la publicité qui est peut-être de faire savoir) au sujet d’un livre expliquant la concussion de la droite avec les milieux d’affaires (rien ne change) – pour ma part je me traîne (hier était sans) j’ai trouvé cette épave

fait cuire des tomates

un lot du vraqueux « anti-gaspi » – j’avais la perspective d’une soirée au cinéma agréable (encore eut-il fallu que le film soit bon : misère…) (chaudement recommandé pourtant) (j’ai eu le sentiment d’assister à une espèce d’exercice à la Apichatpong Weerasethkul) – au loin passait la récup

le monde est tel qu’il est il nous appartient de le changer – nous n’y sommes pas parvenus pourtant (j’entends dire que, pour ne prendre qu’un exemple parmi 500 autres, le pdg de lvmh aperçu 3 milliards de dividendes l’année passée sans payer le moindre impôt dessus – le fisc nous tient bien, certes) – il faudrait préférer oublier

je ne fais que me débattre

le sommeil est sans rêve et ne répare rien – ici, à l’endroit, le type qui sur la passerelle du parc marche à l’envers

en vrai là, il est à l’arrêt – ici pour le bleu (spéciale dédicace à l’Employée aux écritures – qui ne nous écrit guère… :°)))

trouvé ceux-ci en passant (je ne les ai pris qu’en photo)

tout m’est égal – j’ai marché une sieste comateuse m’a surpris durant deux heures – en allant vers cette salle de cinéma inconfortable, spéciale dédicace au Chasse-clou cette fois (qui, lui non plus…)

reste à résister

on peut pour ce faire écouter la minute papillon concoctée pour L’aiR Nu par l’amie Christine Jeanney (tout en suivant son block note)

 

 

 

au ciné donc (Archipel boulevard de Strasbourg pour la première fois de ma vie – une salle du temps du x probablement) Le rire et le couteau (Pedro Pinho, 2025) (scènes de sexe explicite comme on dit – trois heures et demie de perdues j’ai le sentiment : c’est du lourd – inutiles sauf à vouloir montrer la proximité qui existe entre ce type de pratiques séxuée et la colonisation : on se retrouve placé dans un état de voyeur sans compter le racisme affleurant – ça me déplaît profondément – des choses qu’on fait mais qui n’élèvent pas le débat…) (le réalisateur avait pourtant commis il y a quelques années L’usine de rien (2017) qui était autrement pédagogique sur la route de l’appropriation des moyens de production)

 

 

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2 Comments

    dito dito pour tout (influençable ? non sincère)
    pour Apichatpong Weerasethakul je découvre le nom à défaut d’en savoir davantage
    bonne journée et bon courage (belles les tomates (mais interdites à moi sans éplucher et épépiner ce qui compte tenu de ma paresse… restent la vue et le souvenir de l’odeur)

  • @brigitte celerier : il s’agit d’un réalisateur de cinéma (Apichatpong W.) thaïlandais je crois bien – assez obscur, ou abscons, ou alors poétique ou bien d’avant garde enfin avec une espèce de style particulier – il a tapé une palme d’or à Cannes il y a quelques années – quand même… (la sauce était réussie…) Merci à vous Brigitte (nourrissez-vous)