Pendant le weekend

2595 Mardi 30 Septembre 2025

 

 

submergé mais toujours nageant – trop à faire mais gravissant quand même les collines de l’administration (notamment fiscale – quelle affaire – et judiciaire – la fin du mois équivaut à un déménagement de mon avocate – qu’est-ce que je vais devenir, je ne sais mais je marche encore) – pour changer de queer en qu’ouïr (incidemment sans lire la rubrique « jveux du queer » qui emmenait vers souchon) j’ai repensé à francis blanche qui demandait à sa seigneurie « qu’entendez-vous par là votre sérénité ? » laquelle (en la personne de pierre dac) répondait (on l’aime toujours d’autant qu’il fait penser à thomas clerc lequel pointe directement sur le dix-huitième qui n’est pas le moins aimé des arrondissements) lequel pierre dac répondait « par là je n’entends pas grand chose » – continûment donc le mémoriale plus la lecture du livre d’oz tranquille et douce – plus le autrement des années de cuivre (la trahison de paul 6 slash 262) – promenade au parc

grand soleil – et lunettes du même métal – abandon partiel de livres d’histoire

et autres (rubrique à entamer peut-être – intitulée bal ? du même acronyme que la boîte aux lettres) (ou alors bali ?) un peu de cuisine (le plat oignon/poivron rouge/harengs fumés/riz raté) (tant pis) après ça ceci

puis recadré sans doute

 

au ciné cent-quatre Put your soul on your hand and walk (Mets ton âme sur ta main et marche – Sepideh Farsi, 2025) on en sort sidéré stupéfait cependant le sachant depuis près de deux ans, et on ressent une telle honte pour l’humanité – à Gaza, Fatima Hassouna photo-journaliste documente la guerre – la vraie terreur – et son sourire formidable redonné par une réalisatrice iranienne…

 

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