2648 Samedi 22 Novembre 2025
entre fantasmes oncologique et d’hernie discale – ça ne va pas mieux en réalité c’est une affaire entendue (il est vrai que je me soigne mais la nuit est peuplée de ces goules intestines et oniriques, je me lève titubant dormant plutôt nettement plus – j’aurais aimé avoir la possibilité d’hiberner) (entre l’ukraine et gaza sans compter le reste évidemment on sent les odeurs ordurières et guerrières nous parvenir et les relais nauséabonds ne manquent pas) – c’est sans doute pour me défendre – travail à la table (Medellin sera en ligne taleur (c’est fait) – la Défense un peu plus tard) – le froid a gelé la flotte stagnant sur le toit de l’école

image meurtrières (qui me fait penser aux fenêtres de d’une des églises de Spreck – je retrouverai l’image) (Spreck est le diminutif amical qu’on emploie pour parler de l’Architecte – dans la grande arche le livre) – et puis la nuit je me retrouve toujours dans cette position (toutes choses égales par ailleurs et mutatis mutandis évidemment) obligatoire et cachée

pour prendre le cliché à la presque aveugle des ami.es bulgares (ami.e plus ou moins) par peur du « toi prendre photo moi pourquoi ? » d’un jour (pas certain que je cherche, que je trouve, que je pose le lien mais ce serait à faire), d’un des compatriotes (j’ai oublié la position à quoi me comparer ce faisant – paparazzo peut-être mais il n’y a guère trop de danger – ou si peu – à appartenir à cette corporation…) (espion, détective ? ) – j’y retourne immédiatement (sic Boris Vian)
au ciné salle 3 (la plus petite, celle devant s’intituler Ida Lupino – le truc est parti dans les limbes administratives de l’endroit – ou à la poubelle) Les aigles de la république (Tarik Saleh – 2025, suédo-franco-finno-danois – à Cannes en compète en mai – comme celui d’hier (Dossier 137) sans récompense) policier égyptieno-danois (faut aimer le genre assez suranné – politique fiction disons – on peut saluer la volonté dénonciatrice et obstinée du réalisateur, exilé) (immuable – il est de la plupart des plans – Fares Fares) (j’avais préféré, pour ma part, Le Caire confidentiel (2017) le titre en était assez distributeur français, je reconnais) (on peut porter à la connaissance du public (sans que cela soit un signe visible de cohérente ressemblance ni ne porte à quelque conséquence que ce soit) que les deux héros (ici Georges,là-bas Spreck) circulent dans le même type d’automobile (une jaguar xj quelque chose)

