Pendant le weekend

Deux onze quinze

 

Bah, pourquoi y aurait-il quelqu’un pour penser que c’est facile? Toute la journée entre la saisie de questionnaires bourrés de suie et les appels téléphoniques du bailleur (qui propose un deux pièces dans la rue, j’ai refusé poliment, j’en aurais pleuré), de l’assureur qui m’indique qu’un taxi passera demain avec une enveloppe pleine de pèze (how much ? qui peut savoir…) pour les achats de première nécessité, du gardien qui me dit qu’on a posé une porte en acier pour empêcher les squatts, les appels des mômes (trop cools), les appels aux potes (tellement gentils) je suis allé voir mon frère à (on dit à présent) Rome où j’ai pris cette photo, trouvé un vague logiciel de redimensionnement, tenté une vague mise au point difficile mais si on regarde bien au fond tout au fond de la brume, on découvrira le Panthéon qu’ils ont fini de réhabiliter (durant la nuit, des cauchemars à n’en plus finir où il est vaguement et de loin question de quelque chose comme de la fumée, de la noirceur et de la mort-rien n’est dit, tout est comme en filigrane, et moi, je fatigue) (demain, même jeu-foutre)

gare saint lazare

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