Pendant le weekend

15-6 janvier 1052-3

 

(j’entends la radio, c’est tellement à vomir)

ainsi va le monde (l’image montre Francesco Cossiga et et Giulio Andreotti, deux des merveilles du monde auteurs de la plupart des lois italiennes favorisant l’extrême droite et ses méfaits dans la poursuite de la stratégie de la tension – pour mémoire attentat dans la gare de Bologne, 85 morts plus de deux cents blessés – initiée par la loge P2 dont faisait partie Berlusconi et (probablement – ce ratatiné de Giulio – justice de classe).

Le voilà sous les verrous (pour mémoire) et on comprend l’alliance ou plutôt l’axe qui sévit ces temps-ci. Fait pas si chaud, hein – il vaudrait mieux en rire, et faire tomber les masques des « petits cadeaux » ignobles qu’ils se font les uns aux autres.

(le blog semble déréglé depuis la mise à jour – ou pas : peut-être n’est-ce que le fournisseur d’accès – possiblement)

Se remettre à écrire (avec Nathalie Sarraute

) (je fatigue à nouveau – toujours le même travers : au travail je peste, quand il n’y en a plus,je déprime) (nouvelles révélations au sujet du malheureux pédégé emprisonné – lettre de sa femme (neuf pages) sans effet, émoluments à sa soeur, paiement des factures par la firme – tout le kit : je suis avec peine et difficultés

) (je ne me fais pas encore à cette nouvelle interface – hier soir repas (betteraves en salade salade verte pâtes à la sauce no pif no formagggio pamplemousse chinois avec E. et M.) (journée cadeaux « Le chevalier inexistant (Italo Calvino, nrf) plus armagnac arménien dans cet emballage

) (je vais par les rues – malgré le désir d’y assister, j’ai oublié le séminaire du programme 13 novembre); il s’agit de tenter d’avancer malgré les entraves – par exemple ceci

ou autre chose (en passant par le passage Saint-Honoré)

j’en ai ma claque (deux heures pour un billet non merci j’abandonne

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2 Comments

    pour la radio OUI
    pour Sarraute, tellement bien de la lire, tellement difficile de répondre au défit de François Bon sans faire très mauvaise imitation, surtout quand on doit partir d’un 4 évanescent, soigneusement évanescent… ai fini par m’impatienter et envoyer n’importe quoi (enfin un n’importe quoi qui m’a pris un sacré temps)
    reste le plaisir de vous suivre, même dans un moral maussade, et admiration pour la persévérance humaine

  • Il faudrait relire Pasolini ces temps-ci. Dommage que le PCI n’existe plus, l’Histoire oui, encore.

    Belle moto, certains deux-roues emballent !