Pendant le weekend

1660 Mercredi 30 Décembre 2020

 

 

plus qu’un

tu te souviens du feuilleton Belphégor dans le poste années soixante et quelques? c’était à cette période – entre deux fêtes (il m’avait semblé : wiki assure que c’était en mars 65 – va comprendre cette mémoire, va) (foutre) – jujube nous a quittés, bah qu’est-ce qu’on peut (y) faire ? (à un moment de la fin des années soixante dix je vivais rue de Lille (au début de la rue recevait le tordu du cigare – une rue plus loin, gainsbourg n’était pas encore barre – on le voyait au bar coin rue du Bac avec ses chaussures blanches sans chaussettes et on s’en foutait royalement – au bout de la rue vivait la Gréco, on s’en foutait aussi – au fond ce n’est pas notre monde – je suis allé voir un petit peu Venise (je relis Mary McCarthy,  » En observant Venise » payot) (cool)

saint Théodore (j’avais un ami qui portait en patronyme ce prénom – une pensée vers vous, Gérard) et le dragon (on n’en connait pas exactement le nombre de morceaux, certains disent huit, d’autres trente – on se perd en conjectures) et passe la mouette

spectaculaire (regard caméra) hein (quand je vois ces volatiles, je ne peux m’empêcher de penser à Malraux et (derrière lui (ce volatile, pas Dédé), le palais des Doges) à son restaurant favori peut-être (fermé) (de l’avenue Franklin Roosevelt) – quatre vingt huit euros quand même…)

non mais contre cette beauté on ne peut rien

Trouvé dans une librairie du faubourg le « Tu t’appelais Maria Schneider » (Vanessa Schneider, sa cousine, livre de poche, 7.40 euros) (ça fait peut-être cher, je ne sais pas exactement – BO en parle page 81 dit l’index – c’est un peu cette époque qui est décrite dans le projet Norma – les années soixante dix, je suppose, c’est extrêmement loin du topo, mais c’est quand même par là – non loin non plus d’Aldo Moro ou de DF (enfin toute ma jeunesse) (ou une partie seulement) je suis tombé sur cette image que j’aime beaucoup (elle me fait penser – aussi – à Roland Barthes et ses mythologies)

et puis pour finir, ces deux exploits : l’un de la fin des années soixante

trouvée en suivant un lien chez monsieuye Am Lepiq auquel on emprunte donc la mouture (très wtf) contemporaine (mise à jour)

en DVD Sankara n’est pas mort (Lucie Viver, 2019) documentaire parfaitement recommandable (mais je ne prise guère les documentaires) (je l’ai loué sans savoir)

 

 

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1 Comment

    une belle corbeille, en perds la tête, vais en rester (sans difficulté) aux deux dernières images