Pendant le weekend

MerNoire 2 (2131)

 

 

 

l’heure est grave mais on s’en fout
enfin presque – on avait ici l’ambition de ce voyage (on avait eu connaissance de la première annexion par l’immonde de la presqu’île de Crimée (elle sera l’objet d’un de ces voyages) mais ça ne changeait rien) pour connaître un peu voir avoir une idée – en images sans doute (le consensus des images – ou la convention – ne sont pas à prendre à la légère : ou pour argent comptant) imaginer donc : cette vision fausse la réalité des choses mais qui constitue cependant la mienne que je me permets de partager – géographie de l’imaginaire probablement –

c’est en Turquie (Kandira -Kocaeli pour faire le relais avec le premier voyage) – on ne voit guère de gonzesse dans la rue – c’est assez spécial – drapeaux sur le minaret – boisson gazeuse – ça ne fait rien – ici Karacakoÿ

j’aime assez cette route qui part, au fond de l’image à gauche vers le bord du cadre – après mosquée croisement placettes – j’ai essaye d’aller voir mais non

l’autre côté du point de vue – sur terre – et à l’ouest (carte postale dronatique) (contrechamp de la première)

ce n’est pas un bourg au bord de la mer (quand même elle serait noire) mais on peut y aller – une dizaine de kilomètres au nord donc ceci

rien ne ressemble plus à une plage qu’une plage – plus près

arbres penchés terrains de sport lotissement – toute une humanité –

baraques cabanes petites barques – ça se trouve par là

pourquoi pas la Noire (ex pont Euxin) et pas celle de Marmara (du nom d’une de ses îles) les Dardanelles et compagnie ? Va savoir

Bon dimanche (je vais boire un café – et voter) – ici entre la mer et la ville

 

 

 

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4 Comments

    Jolie marguerite au milieu des nénuphars… Cette ville au nom de karaoké, il fallait l’inventer !
    Bon vote ! 🙂

  • @Dominique Hasselmann : non floutée, la marguerite tu remarqueras (elle fait penser (même si ce n’est qu’une fleur de nénuphar)à la mère à Léon) (Gaumont, enterré au Télégraphe : souvenir de vases communicants)

  • et merci j’adopte l’imaginaire

  • @brigitte celerier: merci à vous