Pendant le weekend

2351 Vendredi 2 Juin 2023

 

 

sans doute manque-t-on d’enthousiasme – ou d’exceptionnel – ou de distance – en tout cas croisé ces deux spécimens (qui font la part à madame Lambinet)

(#421) (tout cela est tellement dérisoire – il y avait eu la promesse intérieure ou intestine (c’est plus adapté) de ne poser que de jolies choses et voilà) (chercher le sigle (est-ce bien un sigle ? un acronyme certainement en latin quelque chose de différent, divers, autre) I.D.P. (si je le lis bien) entraîne dans des frasques  interneto-centrées – on a l’habitude avec cet outil, tout est faux rien n’est vrai, tout est à peu près – je passe – il y a toujours les bouleaux sur le quai (j’en ai planté, avec ma paxette, deux dans le champ – je dois appeler l’agriculteur pour le prévenir de ne pas raser ces jeunes pousses) (c’est un éleveur de bourrins, sans doute, mais cependant) –

temps splendide, magnificence voilà l’été – sur le quai arrivait un autobus corporate (on le loue pour emporter les serviteurs, leur faire découvrir la ville dans des conditions semblables de température et de pression qu’à l’époque – c’est un 63 (on ne le voit pas trop mais c’en est un) (le regard des happy few ne sera pas, par charité, imposé ici) (c’est un cadeau, une fleur faite par l’entreprise – nette d’impôt évidemment –

marcher encore, aujourd’hui il fait gris – on m’informe que je vais passer un « test lilate » dans 7 jours d’ici – mon éthique personnelle agonit les zoums et autres façons de faire – je ne fais aucun effort, je me connecte je vérifie que ma caméra fonctionne je lui présente ma carte d’identité  – foutre et quoi encore ? quelle pitié que ce monde – quelle envie de vomir – et y travailler – que dieu me préserve (comme disait ma grand-mère) (la maternelle, je l’aime toujours t’inquiète) – je ne me réconcilie pas et j’abhorre cette technique inhumaine – oui je préfère et de très loin à l’ancienne – anéfé fuck off (FO dans  le texte) – parasol au ciel

évocateur hein : la vie en ville – FO tout autant – penthouse (je lisais les articles sur le secrétaire général du palais du faubourg saint-ho (365 pièces hein), édifiant – la république, qui comme on sait n’est pas chienne, le loge sur le quai Branly (toponyme à l’ancienne; de nos jours : intitulé de l’ex-locataire du palais) (six ou huit pièces) (les croisières de la famille) (crois-tu qu’on donnera le nom d’une rue au minuscule à talonnettes qui portera bientôt un bazar électronique à la cheville ? débaptiser la rue de Budapest ?) (pardon, mais c’est le dégoût – ça va passer) – pour rejoindre le séminaire, marcher encore

on y parlait visibilité et reconnaissance (et Justine Triet, de ce fait) (ici par Rodin, la statue (ou une copie) représentant Honoré de Balzac – la véritable (ou une copie) se trouve sur le boulevard Raspail

 

dans le poste Mischka (Jean-François Stévenin, 2002) sbeul (ça veut dire bordel ou alors si tu aimes mieux bazar) à tous les étages – Jean-Paul Roussillon tellement formidable, sous la douche – et toute la famille qui s’amuse – plus de vingt ans de ça

 

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4 Comments

    La statue de Balzac tient le choc.

    Au fait, c’est quoi un « test lilate » ? 🙂

  • @Dominique Hasselmann : pour la statue, oui, mais sur le boulevard Raspail, on ne la voit juste pas… le test pour l’enseignement de l’arabe suivi cette année – financé par le (mon) crédit professionnel de formation (lequel est abondé par mon travail : c’est donc mon travail qui finance)- un test en zoum : pour moi c’est non, niet – hein…merci à toi

  • merci pour la réponse à la question de Dominique H (le test) – -… oui tout à distance, tellement plus « facile »
    oui à tout (surtout à la survie de vos bébés bouleaux !) mais pour la première photo il reste la saveur grasse des belles faïences (et tant pis pour les inscriptions) dont moi je suis gourmande

  • @brigitte celerier : je viens de l’appeler, on a ironisé sur le port de lunettes de son « associé » – j’espère qu’il verra tout ça… merci du passage