Pendant le weekend

Douze treize quatre

 

 

(trop de travail : alors la nuit, écrire : la fiction, le travail, le dur, les chansons, Peggy sans doute le prénom de cette jeune femme, qui peut savoir ? Pas moi en tous cas, mais j’ai résolu de prendre le premier train du matin et d’arriver sur place pour voir les gens s’en aller vers la grande ville (qui mange, comme chacun sait, la vie) prendre le train de retour à cette heure, écrire en même temps peut-être simplement dire, j’ai pas d’image j’en fabrique à Oulan Bator, comme Olivier H. (spéciale dédicace : à moins qu’on l’appelle Janine ? ) je ne sais pas encore)

Bator GSW Oulan

ce n’est pas que je sois découragé tu vois, non, c’est juste que je n’ai pas d’intimité voilà tout, j’adore vivre, pas à dire, mais malgré tout se retourner sur soi et lire, cesser d’errer, cesser de ne pas dormir, cesser d’oublier ses rêves, ce serait mieux pour moi

Oulan Bator 2

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2 Comments

    … merci à toi pour tes partages, fictions — vigilance, dédicace, incitation —, découvertes…

  • @ monsieur Am Lepiq : mais merci à toi (et à vous…) de passer… A bientôt