Pendant le weekend

Douze sept cent trente cinq (an 2)

 

travailler, reprendre corriger, tester classer catégoriser penser, interroger écrire relancer, contrôler, relire continuer – je suis fatigué tu sais – puis ensuite écrire corriger enregistrer copier réouvrir refermer basculer imprimer comparer penser lire relire classer à nouveau corriger et encore et encore… en sortant, croisé ce type tranquille (pour le moment, il arrive qu’on le croise plus éructant) installé sur son banc, dans le vent doux de six heures et quart

s’en aller vers la rue Jean-Pierre Timbaud, aller boire un verre offert par le Chasse-Clou (pour le vernissage d’une exposition de photos due sa progéniture aînée (merci à V. pour ses clichés)) : volé au Métronomique cette image qui sera le numéro 298 de la série

venant de sa série de vacances à Leipzig (c’est peut-être un lion de Weimar, je ne sais plus). Double remerciement, donc.

au ciné « Visages villages » (Agnès Varda et JR, 2017) chroniqué par ailleurs (une merveille)

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2 Comments

    des pansements sur la fatigue
    (joli jaune le chandail)

  • Le lion, c’était un cirque à Leipzig, pris depuis l’arrière d’un taxi nous emmenant à la petite église pour des cantates…

    J’ai lu que Bouglione allait bannir tous les animaux de ses représentations : il suffira que le clown marche à quatre pattes (les Vegan frappent tous azimuts)…

    Merci pour ton passage à l’expo : après, on est allés dîner, rue Jean-Pierre Timbaud, à « L’Homme bleu », petit restau algérien, tagine au poulet et légumes avec fine semoule… délicieux. Je te le recommande !