Pendant le weekend

6 mai 1062

revenir à l’essentiel

continuer sans cinéma (bientôt festival, de loin, se souvenir de Claude Beylie et des étudiants de la Fémis au jury – il paraît que finalement Tarantino présentera son dernier film) rester sûr de certaines choses

partir revenir (carnet de voyage(s) en attente, tout comme les billets Carlos ou autre – mais ça va venir) travailler encore au bazar solitaire (mais les choses vont changer) se souvenir des belles choses

il fait froid, les écrits stagnent et le travail ne veut pas venir (je ne veille plus, je ne cherche plus, je n’attends plus) je garde au fond de moi une certitude

(c’est pour ne pas parler du reste, l’immonde et l’ignoble, les mensonges les faux-semblants les approximations – bientôt les élections, on ira voter comme à l’accoutumée, un semblant de parole) il ne faisait pas si beau et l’agriculture était intense et portée sur le pro-actif, la performance et l’efficacité ( à trois récoltes par an, dans un lustre nous n’aurons plus de sol) (j’ai terminé le « La grande arche » de Françoise Cossé, un humour décapant pour une histoire plutôt tragique (folio 6343) qui m’a donné l’envie d’aller voir par moi-même – j’irai aussi, l’ascenseur la terrasse le monument

hier au dîner Gg m’a donné une image d’un arc-en-ciel au dessus de la place d’Italie, sans doute capturé samedi mais avant que ne s’ouvre ce périphérique, il faut attendre un bon quart d’heure (à poser – on verra)

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1 Comment

    il est très beau l’essentiel