Pendant le weekend

1658 Lundi 28 décembre 2020

 

 

 

ça se termine, pas vrai ? (ce devait être début mars dernier, allant dîner chez des amis (sont-ce vraiment des amis ?) on a laissé le petit pébrok – je devais le récupérer et puis non ça ne s’est pas fait – depuis, par deux fois des images envoyées lors de ces deux rétentions abjectes mais de nouvelles d’eux rien,  sinon qu’ils furent grands parents – Y. un garçon – par mail collectif (je déteste) – perdus ? sans doute : ce sont ces wtf fêtes qui remémorent, il arrivait qu’on passe le réveillon ensemble (sont-ce des amis ? la convention, cette horreur – l’année dernière nous déclinions, c’est pour ça tu comprends, le consensus ou le consentement : pfff) – reçu par la poste cette merveille (ce lieu, cet espoir et cette lutte qu’on soutient)

augmentée de cette carte postale

la deuxième et la troisième de couverture en rabat

une vraie merveille (aux éditions Filigrane, évidemment – tellement bonne maison) – images noir et blanc formidables, notamment celui-ci

Nico Lannoo, l’artiste qui de ses toiles construisit une maison

disons une cabane, donc, et d’un geste (sans doute artistique)

je veux bien appeler cette prise de position une performance – il avait à passer à autre chose – la résonance avec la troisième proposition de l’atelier d’hiver – j’en termine – les tziganes aussi brûlent les caravanes des partants, ils y laissent leurs affaires, ils laissent le temps opérer, puis un jour (probablement couleur d’orange) ils y mettent le feu (le livre de Patrick Williams « Nous on n’en parle pas  » qui a fait office de mémoire lors d’un séminaire il y a vingt ans) : c’est ce qui s’appelle du savoir vivre – on oublie les amis, puisque ce jeudi ce sera couvre-feu à moins que les chiffres tu sais ce que c’est ? fuck off –

Un grand merci donc à L. (dite F) et M., aux parents de Nico (c’en est un autre)

télé : Brigadoon (Vincente Minelli, 1954) (ce que ça a vieilli, mon vieux*…)

Dansons sous la pluie (Stanley Donen et Gene Kelly, 1952) : nettement moins (mais la fin…) (le génie de la danse et de la variété, sur fond du passage du muet au parlant : formidable) …

 

*c’est une apostrophe que j’emprunte à Geneviève Flaven.

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1 Comment

    oui, je devine qu’il y a de quoi reprendre confiance en l’humain
    (pour la 3 en ai lu 5 et du coup suis un peu plus perplexe… commencé, vais tenter cet après-midi d’avoir l’esprit à (en gros je sais, dans la ligne de ce qui est demandé ou non, reste à rouvrir le fichier et se relancer et pense à trop d’autres choses, on verra mais vais prendre grand retard lecture des autres)