Pendant le weekend

2000 Mercredi 1er Décembre

 

 

c’est sans importance – ces bruits de canalisation, à droite – il pleut – un tour dans les indésirables a fait découvrir la lettre de Lulu deuch’Nord (je suis assez écœuré par l’attitude des fans, mais tant pis) je dépose ici une image du poète en pied en son jardin je suppose – dominant sa maison, et la bérouette bord cadre –

on trouvera le billet et le FULS d’un de ses exégètes – trouvé aussi dans ce « dossier » un courrier de la boite relais d’ao (le truc tourne à vide, on demande l’attestation de vigilance etc. fuck off)  (ça n’a aucune importance en effet) – un moyen métrage magnifique (25 minutes dues à (entre beaucoup d’autres) Amélie Bonnin) musical (le titre est aussi celui d’une chanson (je ne mets pas de guillemets mais le cœur y est) partir un jour (reprise dans le générique de début) de ce qui s’appelait alors un boys band (2be3) (ça n’existe plus non) (tragique, en vrai) (avec un peu de Cabrel, Larusso, Menelik dedans) – cherché Cormollin en vain (ville&cinéma) – dialogues et montage au cordeau – générique due à la réal (graphiste dans le temps) (peut-être bien toujours d’ailleurs j’en sais rien) – on en fera quelque chose (premiers rôles extra, deuxièmes rôles parfaits) – ici les premiers rôles

E. en autobus vers Bruxelles – repas de fête – je surnage je me démène je remballe les trucs qui blessent – j’appelle mon cousin, le sanaryote m’appelle, le mazérésien doit être sous la neige – lectures courses – survivre et écrire

suite de l’îlot gentillyesque en maison[s]témoin

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4 Comments

    « je surnage je me démène je remballe les trucs qui blessent « , bravo, être humain

  • court métrage sympa… 🙂

  • Oui, c’est mon jardin (ch’est min gardin) et ma brouette, et je suis en tenue de jardinier, lisant des incantations pour faire pousser mes légumes.

  • @Lulu deuch’Nord: on ne dit pas « bérouette » par là-bas ? je croyais… (en Normandie, oui)