Pendant le weekend

2659 Lundi 8 Avril 2024

 

 

du 7 quatre – rattraper le temps perdu qui ne se rattrape plus

d’ailleurs il n’est jamais perdu – parfois le sentiment que son existence même est sujette à négociation (sinon caution- les articulations rappellent que, finalement, non : dans ce registre, adopter l’exigence vaguement sadique de sir W. Spencer-Churchill « pas de sport ») – hier tournait autour des malheureux (et des malheureuses) marathonien.nes un avion qui n’a pas cessé de les surveiller durant toute la matinée – c’est vrai qu’on marche quand même – ça a été lecture ( en passant rue de Maubeuge

il semblerait que B2TS ne dispose plus que de ce cliché repéré une bonne demi-douzaine de fois) – marche en avant mais métro aussi (le soir revenant de promenade)

avancer un peu – trois lignes, la consigne du #3 « nouvelle » m’indispose sinon m’indiffère (sur la planche demeurent trop de choses infinies – et les regarder de face (ou de travers) m’écorche un peu l’âme) (la face voilée nous est évidemment complètement inefficace – deux adverbes l’un après l’autre – le style- l’orthographe la syntaxe…) (on s’en fout peut-être – on s’en fout)

on passe (feuilleton) – du 8 quatre (le vert sied au prunus)

dehors chantent les merles – un verre avec B. et ses parents (ce soir pâtes aux calamars recette napolitaine avec câpres) – il n’est pas si tard : je ré-entreprends Norma je regarde le ciel (j’ai trouvé un Maurice Blanchot Le livre à venir que je vais peut-être entreprendre aussi – j’ai toujours et de tous temps confondu Blanchot et Michaux – et leur lecture en a toujours été empêchée, les livres me tombent des mains (il me semble me souvenir d’une actrice de ce nom au prénom Françoise, non ? enquêtrice un moment, à l’amant metteur en scène – quelque chose – j’ai oublié – un film de Mocky il me semble – je me renseigne – non c’est Michaud) (il y avait pas mal d’acteur.es dans cette corporation) (c’est aussi qu’elle aime à jouer un rôle (serait-ce celui d’enquêteurice)) – c’est au balcon que pointe le lilas

 

dans la boite Sayonara (Josuah Logan, 1957) bah

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4 Comments

    réconfortée (pas bien) par votre réaction à la 3, perplexe et rétive suis, ne trouve en trichant sous doute que le temps que j’ai perdu (et c’est effectivement assez jouissif finalement)

  • @brigitte celerier : après, il nous restera la fiction… Bon courage !!

  • « Sayonara » passe ce soir sur Arte à 23:00 : « Un mélo défraîchi, où Brando s’ennuie ferme » (Télérama N°3873 du 3.4.24). Mort le 3 avril 1924, le cher acteur est soudain revenu au premier plan.
    Une certaine Jessica Palud consacre même un film à Maria Scheider qui fut « sous emprise » dans « Le Dernier tango à Paris (1972), sans doute un futur succès au prochain festival de Cannes.

    Primus prunus fecit gloriam in Excelcis Deo. 🙂

  • @DOMINIQUE HASSELMANN : PAS MORT- NÉ – on s’en fout un peu (en revanche, l’emprise sur Maria Schneider n’a pas besoin de guillemets – un autre temps : révolu…(on l’espère on en parle pour…)) – Merci à toi