2680 Mercredi 24 Décembre 2025
rien de spécial – enfin réveillon taleur – pour ce faire

qui ne sont pas de mon fait – six douzaines peut-être de biscuits au parmesan sarrasin (« blé noir » dépourvu de gluten – il en faut pour tous les goûts et tous les appétits, seraient-ils végétariens – les choses changent semble-t-il) – la forme ne m’a pas interpellé mais lisant ce matin la réponse à une tribune publiée il y a peut-être deux jours par une sociologue (Eva Illouz) par le collectif « Juives et juifs pour les droits du peuple palestinien » j’y vois comme un appel, une revendication, une demande de secours – il est né le divin enfant (j’avais à l’esprit aussi Le fil de midi où Goliarda (son surnom si mignon Iazzu) avoue à son analyste je suis en train de tomber amoureuse de vous, demandez à quelqu’un d’autre de venir me soigner s’il vous plaît lequel répond ce n’est que l’expression du transfert sur lequel nous allons travailler : ça a certainement une relation un rapport un sens commun (comme dirait Bourdieu (Pierre) à Lindon – Jérôme pas Vincent, ni Irène†)) – et puis dans le même ordre d’idée (la recherche du père probablement dans mon cas) cette image

Jules Berry alias Valentin « tu vas la taire ta gueule » – inoubliable – (il est de 83 – décès en 51, à 68 piges trop bu trop fumé trop joué), dresseur de chiens et amant de la jeune femme derrière lui, inoubliable tout autant Clara sa partenaire sur scène interprétée par Arletty, (elle est de 98 – se meurt en 92, 94 ans) – quinze ans d’écart, un peu comme à l’écran, un peu comme dans la vraie vie – assassiné par François ouvrier-sableur (Jean Gabin, inoubliable itou (4/76 meurt à 72 ans) un matin où Le jour se lève (Marcel Carné, 1939) – ça se passerait plutôt au printemps
Bonnes fêtes s’il se fait et peut

