Pendant le weekend

29 mai 1085

 

 

 

Je suis repassé par là

une petite officine (hors de prix, évidemment) qui vend du papier – et le décore si besoin – du côté de la rue du Bac, de l’endroit où Romain Gary s’est flanqué une balle dans la bouche et où j’achetais des roses pour TNPPI

je me souviens des dimanches matins à l’Escurial, sept heures du matin croissants chauds avant d’aller bosser au CRT (centre de renseignements téléphonés), un café à Bercy plus le boulot encore (si à chacun de mes passages je fait une image de la souche, quelle plaie) (impossible à télécharger tant pis) (je fatigue grave : le blog cesse pour cause de pont de Normandie) boulot encore donc (je vais me procurer le Coma de Pierre Guyotat)

tour de Romainville – rien à dire : les gens passent, les jeunes gens s’émerveillent, il reste quelques jours avant la trêve des vacances de pratiquement trois mois sans objet, essayer d’écrire mais à quoi bon – il semble que l’atelier sous une autre forme reprenne – je vais me déterminer mais je ne sors pas de cette dépression – je continue, sans avancer pourtant – je n’en sors pas

 

 

 

 

 

 

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2 Comments

    pour l’atelier dito (et moi n’ai pas fini celui d’hiver) nous devrions nous appuyer l’un sur l’autre (émulation ? crains de ne pas être à la hauteur) 🙂

  • Bon voyage en Normandie !

    Puisque Bison fûté « voit rouge », tu devrais peut-être prendre le train ou l’avion (peu écolo, dit-on), comme proposé ici par Hitchcock

    🙂