Pendant le weekend

Vingt sept un seize

 

On ne sait plus bien où on en est mais j’ai réussi à me renseigner sur les éditions Paul Vermont qui éditaient à Nonville cette « Histoire  désinvolte du surréalisme » due à ce Jules-François Dupuis (alias aka Raoul Vaneigem) et j’ai trouvé un peu par hasard quelques photos des soutiens de cet éditeur (dans les années 90) en les personnes de Dominique Noguez et de l’auteur de « soumission » (lequel livre je n’ai pas lu ni ne lirai)

Champo

(la rue des Ecoles, le Champo, la brasserie je ne sais quoi mais je me souviens que, gauche cadre, dans les années quarante se tenait là le Dupont-Latin) bien envie d’aller au cinéma, rive gauche pourquoi pas (pas de nouvelle de relogement, les comptes sont lourds, les assureurs lents, les administratifs revêches) (peu importe je lis le manuscrit de Levic, et ça m’emplit d’une joie enfantine, j’adore ça, il tient quelque chose et j’adore ça)

NPS 4

(je pose ici cette photo du magnifique « Notre petite soeur » (Hirokazu Kore-Eda, 2014) parce que je n’en ai pas trouvé de « An » (Naomi Kawasé, 2015) (qui a été rebaptisé d’un « Les délices de Tokyo » de distributeur à pleurer) que je me permet de conseiller ici) (c’est parce que j’aime le cinéma, j’aime y aller pour voir un bon film et que celui-là est magnifique)

 

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3 Comments

    et que Naomi Kawasé ne doit pas être capable de faire un film mauvais, vraiment

  • toujours pas vu…

  • @brigetoun : oui, enfin faire attention aussi (on a été voir quelques un de ses premiers courts métrages -d’école certes; à la cinémathèque, oui aussi- et on la retrouve, c’est vrai, amis au détour de quelques plans…