Pendant le weekend

31 janvier 1067

sur le bureau restent quelques images (nombreuses sont les cartes de voeux – 7 quand même) ici l’une d’elles (une image, pas une carte de voeux, bordel !) qui n’a pas plu ni à l’enflure rezosoc ni à mon ami DP qui l’a commentée (un peu outré – mais ce n’est qu’une caricature) (depuis elle a disparu de ma page) (je l’avais vue dans le désordre)

il (ne) s’agit (que) d’un montage

il y avait cette autre qui date d’un autre temps (sans doute plus proche de la réalité ?) (je pense à Victor Jara, tu sais, je pense au stade de Santiago) (et je pense à la loi qui passe sur les manifestations interdites et le reste – fichiers, gardes à vue, blessures…)

il s’agit d’un montage

il faut faire attention à ce qu’on poste, sans doute mais pour rire – entendu François Bégaudeau dans le poste (pas en direct mais enfin, c’est assez édifiant, il m’a semblé) (la lutte des places, ne pas vouloir que les choses changent et les chiens de garde) il y avait aussi cette image de Gerda Taro

sans doute piquée dans un journal, je ne sais plus, j’ai gardé le titre – tout en regardant passer les images, j’ai dissous la société – actions simplifiée uninominale capital mille euros – il va m’en coûter cinq cents, foutre – c’est ainsi quand on veut entrer dans le monde social, ça a un prix – quelle erreur ça a été… – doublée de l’incendie, catastrophe dont je me relève à peine – mais je me relève – ici cette autre encore qui fait penser au rugby (parce que Spanghero et compagnie je crois, il doit s’agir du fils ou je ne sais quoi)

(le rire et l’humour doivent gouverner la vie – pas les pleurs) et enfin celle-ci, du Montcorget et de la Marlène sans doute à Hollywood (dans les années quarante j’imagine

cela ne va pas nous rajeunir non plus trop)

peu importe – travailler encore – entendu aussi je ne sais plus qui, si : Vincent de Gaulejac (c’est la même émission dis donc – de france q comme quoi parfois – je tourne le bouton un peu avant midi si elle est allumée, un peu avant neuf heures, et je la laisse éteinte la plupart du temps) qui faisait un développement sur les mails en nombre et les réponses obligatoires à y apporter dans l’urgence, les burn-out à répétition subis par les manageurs, mais aussi sur le fait que c’est à nous maintenant, administrés de l’État à faire son travail – sans être rétribués – m’a fait souvenir du livre de Marie-Anne Dujarier – vu quelques images aussi du couple en visite égyptienne (la vente d’armes uniquement pour ne s’en surtout pas servir) (je me souviens aussi de cette chanson, travailler encore, mains d’or je crois) et la saute d’humeur de CG. qui, du fond de sa cellule en appelle au complot (le canard reprend ses images , et puis tout à coup plus rien : la veille est délicate)

 

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1 Comment

    Heureusement, Martine Aubry ne s’est jamais offusquée de la série des petits livres qu’elle a feuilletés sans doute dès l’enfance…

    L’humour n’est pas la chose du monde la mieux partagée (on s’en souvient à Charlie Hebdo)…